• LES ARDENNES

    Marcassin-a19262263.jpgC'est le département ou je suis née, superbe région, colorée de vert.

    Mon "Grand coin de paradis".

    L'amour de la nature vient de là, quand j'étais petite, mes parents habitait à Harcy petit village non loin de Charleville-Mézières.

    Harcy, petit village de mon enfance.

    Je me souvient de cette grande maison, ou nous avions une multitude de cachettes, dans le grenier, que mon père avait aménagé.

    La cave en voûte, il y faisait très froid, il y avait des araignées blanches au plafond, cela me faisais très peur, alors, je n'y allais presque pas.

    Petite visite guidée de mes souvenirs d'enfance.

    Mes parents avaient des lapins et des chats.

    Mon père cultivait un grand potager, je me souviens, que lorsque les pieds de pommes de terre étaient attaqués par les doryphores, mon père, les enlevait un par un et les jetait au feu. Car c'est un insecte qui dévore les plants de patates, et fait mourir la plante, et là si la plante meurt, pas de pommes de terre.

    Ma mère cultivait des dahlias et des lupins, ils étaient gigantesques, ou alors c'était moi qui était toute petite, mais j'avais l'impression qu'ils me dépassaient.

    Au bout du jardin , nous avions une petite porte qui donnait sur un petit chemin, et juste derrière une très très grande pâture. Les vaches y pâturaient tout les jours. Nous les enfants du village, nous nous retrouvions dans ce champs et nous y passions des heures. Ma mère m'avait confectionné une jolie robe de princesse, car, avec les petites copines, nous jouions au prince et à la princesse en danger, et notre prince venait nous délivrer. Car les méchants nous avaient emmené dans leur grand bateau (le bateau était une baignoire au milieu du champs, qui servait d'abreuvoir pour les vaches).

    Dans ce champs, il y avait des châtaigniers, j'ai encore, quand j'y pense les odeurs le l'herbe fraîche dans le nez.

    De temps en temps, avec les petits copines et copains, nous nous sauvions vers le petit bois. Petit bois interdit par nos parents, mais c'était plus fort que nous.

    Là bas, il y avait des renards, enfin des terriers de renards. L'odeur de la forêt, l'odeur de la mousse, hum... que de très bons souvenirs.

    Mon frère et moi, avions trouvé au bout de notre "rue", dans le virage derrière le lavoir du village, celui qui était près de notre maison, un petit coin, ou nous avions commencé à y faire une petite cabane.

    Je me souviens, également, que quand nous allions chercher le lait à la ferme, avec le pot au lait, il était tout chaud. Il venait d'être tiré.

    Ma mère, le faisais bouillir sur le feu, et l'odeur du lait chaud remplissait notre très grande cuisine. je n'aimais pas la crème du lait. mais le lait chaud c'est délicieux.

    Nous avions  une grande cuisine, avec une petit porte western pour aller dans le bureau, sur la gauche du bureau, une porte qui descendait à la cave. Sur la droite du bureau une autre porte qui menait dans se qui devait être le futur salon/salle a manger, mais, mon père n'eut pas le temps d'y faire les travaux, alors, c'était notre terrain de jeu. 

    Nous avions mit à la queue leu-leu des chaises, et fabriqué avec des cartons, une fausse carcasse d'avion, et avec mon frère et mes soeurs, nous jouions, aux hôtesses de l'air et aux passagers.

    Il y avait aussi le fête du village, les gens se grimaient aux années 1900 et avaient passé des mois à fabriquer de vieux tacots et vélos de l'époque. Bien-sur, ils étaient re-visité pour être rigolo, certains vélos avaient des roues excentrées.

    Ce sont pleins de souvenir, qui reviennent comme ça dans ma tête comme des flashs. Et j'adore, me les remémorer.

    Voici quelques photos de la maison de mon enfance

    quand j'y vivais (c'est moi devant avec mon frère mes sœurs et ma mère sur le pas de la porte)

    D'ou je viens : Le Village de mon enfance, Harcy

     

    Aujourd'hui (mais avec d'autres propriétaires)

    a

    z

    cg 

    ch

     c'est de là que me viens la passion des vieilles pierres, c'est trop beau.

     l'église du village

    ci

     Les rues de Harcy

    cj 

    ck 

    cl 

    cm 

    cn

    Le silence est roi dans ce beau village de campagne, seul, les couicouis des oiseaux rompt ce silence, c'est véritablement, un havre de paix et de tranquillité.

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    8 commentaires
  • La vallée de la Meuse, superbe point des Ardennes, l'un des plus beaux.

    Je vous laisse contempler, vous jugerez vous même. Bonne promenade

    a

    b 

    c

    LES 4 FILS AYMON, une des plus belles légendes ardennaise

    Les quatre fils du Duc Aymon, Renaud, Allard, Guichard et Richard étaient entrés en rébellion contre Charlemagne qui avait fait assassiner leur oncle. Néanmoins conscient de leur particulière vaillance, l’empereur décida de les faire chevaliers. Le jour de leur adoubement, Bertholet, neveu de Charlemagne, se querelle au jeu d’échecs avec Renaud, qu’il insulte. Renaud le tue. Les frères Aymon doivent fuir, tous quatre sur leur cheval-fée Bayart. Ils bondissent par dessus les monts et les vallées, et regagnent l’Ardenne où ils bâtissent un château grâce à l’aide de leur cousin l’enchanteur Maugis.
    Mais l’empereur les retrouve, assiège la forteresse pendant trois ans et s’en empare par traîtrise. Les frères se réfugient dans la forêt pendant trois autres années, se nourrissant de fruits sauvages et du produit de leurs chasses, avant de rentrer au château de leur père et de connaître d’autres aventures dans le sud du royaume, puis en Germanie. Une magnifique crête schisteuse dominant la vallée de la Meuse, à Bogny-sur-Meuse conserve leur mémoire. Elle découpe cinq pointes : les quatre frères et leur fidèle cheval…

    d


    v5ekktyv.jpg

     e 

    Falaise d'ardoise 

    v 

    cc 

    cv 

    cw 

    cx

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  • Charleville-Mézières

     

    Le saviez-vous, les gens de Charleville-Mézières s'appel des Carolomacériens et Carolomacériennes. 

    La place Ducale est la place principale de Charleville-Mézières. Construite en 1606 par Clément Métezeau, elle est aussi la sœur jumelle de la place des Vosges à Paris.

    C'est grâce à l'effort financier de Charles de Gonzague, neveu d'Henri IV, duc de Nevers et du duc de Rethel, gouverneur de la Champagne, que la place a vu le jour.

    La place Ducale est un rectangle de 127 mètres de long et large de 90 mètres, doté de 27 pavillons de style Henri IV ou Louis XIII obéissant à la règle de 4 : 4 travées, 4 baies à chaque étage, 4 lucarnes et 4 oculi sur le toit.

    Initialement pavée, elle est ensuite longtemps recouverte par du goudron pour être repavée en 1999. L'élément central a également souvent été modifié : une fontaine jusqu'en 1899 qui laisse sa place à une statue représentant Charles de Gonzague.

    Depuis peu la statue de Charles de Gonzague a été à nouveau déplacée afin d'y mettre une copie de la fontaine originale. 

    Charleville-Mézières, chef lieu des Ardennes 

    Charleville-Mézières, chef lieu des Ardennes 

    Charleville-Mézières, chef lieu des Ardennes 

    Charleville-Mézières, chef lieu des Ardennes 

    Charleville-Mézières, chef lieu des Ardennes

     Charleville-Mézières, chef lieu des Ardennes

    Hihihi Moi 

    Charleville-Mézières, chef lieu des Ardennes 

    Charleville-Mézières, chef lieu des Ardennes 

    Charleville-Mézières, chef lieu des Ardennes 

    Charleville-Mézières, chef lieu des Ardennes 

    Charleville-Mézières, chef lieu des Ardennes 

    Les autres coins de Charleville-Mézières 

    Charleville-Mézières, chef lieu des Ardennes 

    Charleville-Mézières, chef lieu des Ardennes 

    Charleville-Mézières, chef lieu des Ardennes 

    Mon petit homme 

    Charleville-Mézières, chef lieu des Ardennes

    Direction le Mont olympe 

    Charleville-Mézières, chef lieu des Ardennes 

    Charleville-Mézières, chef lieu des Ardennes 

    Nous 

    Charleville-Mézières, chef lieu des Ardennes

     

    Nous y voilà au Mont Olympe, dommage que l'horloge ne soit pas en fleurs.

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire